• Un puis deux et trois et quatre... musiciens de Nefeles * Ioannis Vlachos (rébétiko)

    Un puis deux, puis trois, puis quatre... musiciens de Nefeles * Ioannis Vlachos (rébétiko)

     

    Bonne année !

    Καλή Χρονιά !

     

     Ils jouent en France (et en Grèce), ils donnent des cours de musique grecque : voici quelques vidéos du groupe familial Nefeles.

     

    Limneiko zeibekiko :

     


    Vidéo : Ioannis Vlachos

    Danse instrumentale de l'île de Limnos (Grèce) interprétée par Nefeles et les stagiaires de Musique en voyage, l'été 2016 au village d'Agios Lavrentios au mont Pélion (Pilion).
    Nefeles  : Yannis Vlachos à l'oud, Laurence Stefanidis au violon, Anatole Vlachos au baglamas, Mélina Vlachos au violon.

     

    Rebetiko, Καροτσέρης (Karotseris : Cocher) :

     


    Vidéo : Ioannis Vlachos

     

    Nefeles interprète Karotseris, rebetiko d'Apostolos Hatzihristos. Film réalisé en Grèce au village d'Agios Lavrentios à Pilion.
    Yannis Vlachos - guitare, chant Laurence Stefanidis - baglamas, chant Anatole Vlachos - bouzouki, chant Mélina Vlachos - violon, chant.
    http://nefelesgreekmusic.com

    Keep on coachman , keep going and at Kalamaki
    we'll stop to drink an ouzo Keep on,
    keep going until Glifadha
    To enjoy some good wine and fried fish
    Keep going keep going, turn around ,
    lets return to Athens
    To listen to the little guy ( from Smyrne)
    who plays the bouzouki

    (extrait du commentaire sur youtube)

     La photo en tête d'article provient du site du groupe

     

     Liens / Links :

    http://www.nefelesgreekmusic.com

    Concerts et actualités du groupe

    https://www.facebook.com/nefeles4/?re...

    http://www.stage.musiquegrecque.fr

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  • Commentaires

    1
    perpatitis
    Lundi 1er Janvier 2018 à 22:53

    En prime, on entrevoit dans ces vidéos un peu de l'atmosphère particulière à ces désormais riants villages du nord du Pélion. Ils l'étaient un peu moins il y a quelques années, et ces opulentes maisons ont bien failli disparaître. Elles sont de plus en plus souvent restaurées avec soin, souvent par des  des étrangers  qui ont les moyens, converties aussi en chambres d'hôte de grand standing. Quelques villages martyrs de la région, qui était une zone quasiment administrée par la Résistance pendant la période 40-44 ont été détruits et leur population massacrée par l'occupant nazi, en représailles.

    J'aime bien ce documentaire gastronomique tourné dans ces parages...

     

      • Mardi 2 Janvier 2018 à 11:19

        Merci beaucoup pour ces observations intéressantes. Les maisons ont failli disparaître pendant la guerre ou à cause de la crise plus récente? Les deux? 

        Il est difficile en effet de se loger dans le Pélion pour pas cher aujourd'hui. Il reste les campings...  agréables et corrects.

        Et merci aussi pour le documentaire où on retrouve l'ambiance de la Grèce avec délice.

    2
    perpatitis
    Vendredi 5 Janvier 2018 à 17:14

    Non, je ne parlais pas de la crise ou des exploits des nazis...

    Simplement l'exode rural, les grandes maisons qui demandent de l'entretien mais qui n'offrent pas, à moins de travaux importants, le confort dit moderne. Ce n'est pas spécifique à cette région, à Athènes aussi il y a eu une hécatombe de maisons néo-classiques du 19ème siècle, délaissées au profit des gros immeubles avec grands balcons et  auvents de toile parfaitement interchangeables. Si elles ne tombaient pas assez vite en ruine, on pouvait les aider un peu pour faire de la place...

    Pourtant, celles qui ont survécu à l'ouragan de béton et à qui on accordé l'attention qu'elles méritaient constituent aujourd'hui des références que tout le monde remarque. C'est très branché d'établir ses bureaux dans une maison néo-classique...

      • Vendredi 5 Janvier 2018 à 22:22

        À Athènes c'est le manque de moyen, je suppose, et le fait qu'il n'y ait pas de volonté politique en urbanisme, peut-être, pour réhabiliter ces immeubles. Il me semble qu'il y a eu des améliorations quand même, grâce aux bureaux branchés dont vous parlez, peut-être ?

        En tout cas, j'ai vu un exemple d'utilisation efficace des fonds européens pour réhabiliter des quartiers anciens : c'est à Castoria. J'y suis retourné à 6 ans d'intervalle et donc, entre 2010 et 2016 le vieux quartier a changé de visage : les belles maisons de style ottoman à l'abandon ont repris de la vigueur.

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