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Les enfants de Nikos Economopoulos * Νίκος Οικονομόπουλος

dornac

 

Le photographe grec Nikos Economopoulos (Νίκος Οικονομόπουλος) est né en 1953 à Kalamata (pointe sud du Péloponnèse) et travaille pour l'agence Magnum. Il a exposé près de Paris à la maison de la photographie Robert Doisneau de Gentilly de décembre 2009 à avril 2010.

 

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Un certain nombre de ces photos sont issues de son ouvrage Balkans (Βαλκάνια/In the Balkans) :

 

 

Liens / Links

Nikos Economopoulos, agence Magnum
Nikos Ekonomopoulos (wikipedia)
Galerie
Biographie et travaux


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Commentaires
D
<br /> En plus, la solidarité européenne ne joue absolument pas et certains réfugiés sont renvoyés en Grèce... comme la Grèce ne gère plus<br /> l'immigration, l'Autriche a décidé de ne plus renvoyer les Afghans en Grèce : (...)la décision de la Cour constitutionnelle autrichienne de stopper le renvoi vers la Grèce d'une famille de<br /> réfugiés afghans. La Grèce qui est dépassée et n'arrive plus à traiter les demandes d'asile ne peut plus être considérée comme un "pays tiers sûr“, a jugé la Cour.) C'est très bizarre ce<br /> genre de réflexions quand même ! Comme si c'était juste de les renvoyer en Grèce (avant la débâcle)! Eh oui, la Grèce est le pays natal des Afghans, c'est là qu'ils poussent et d'où ils<br /> s'expatrient... c'est la nouvelle diaspora grecque! On sent le ton péremptoire et légèrement méprisant dans ce ne peut plus être considéré comme un "pays tiers sûr", quel culot !<br />
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D
<br /> En réalité, la violence face à l'immigration clandestine est plus importante du côté de la police, comme semble le décrire cet article de presseurop.eu.<br />
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D
<br /> Je dirais même plus : un rapport de la Commission contre le racisme du Conseil de<br /> l’Europe signale un recrudescence de la violence raciale en Europe.<br /> <br /> <br /> Dans le rapport, elle se dit préoccupée par les conséquences de la crise économique pour les groupes vulnérables – surtout l’augmentation du chômage et la réduction des services<br /> sociaux.<br /> <br /> <br /> Tant pis pour eux puisqu'il faut se serrer la ceinture en réduisant les effectifs de la Fonction Publique. A moins que des entreprises privées souhaitent faire du social (non rentable).<br />
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D
<br /> Autres références sur le populisme et la montée de l'extrème-droite en Europe :<br /> <br /> <br /> www.presseurop.eu<br />
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D
<br /> A propos de mon dernier commentaire sur l'accueil des étrangers par les Grecs, un article du Monde du 25 novembre vient me<br /> crontredire. Il parle de ces groupes de sympathisants d'extrème-droite qui font la chasse à l'Afghan dans un ou deux quartiers d'Athènes, comme si c'était un phénomène nouveau et important (il<br /> n'en est pas moins grave, c'est vrai).<br /> <br /> <br /> Bien entendu, aucune mise en perspective n'est donnée (un petit rappel sur les groupes néo-nazis en Grande-Bretagne, en Allemagne et en France et sur leurs agissements devait être considéré comme<br /> hors-sujet mais aurait aidé à relativiser). Pas de chiffres comparatifs sur la violence en Europe. On focalise sur la Grèce comme si elle devenait tout-à-coup un  monstre de pauvreté et de<br /> violence, on stigmatise, encore... et on s'étonne que les marchés  financiers n'aient plus confiance, que les touristes ne viennent plus. La faute à qui?<br /> Personnellement, je me sens -et je suis- bien plus en sécurité en Grèce qu'à Paris (oui... je ne suis pas afghane et je suis touriste non résidente de classe moyenne et non pauvre, je sais, mais<br /> quand même, je suis plus en sécurité en Grèce !)<br /> <br /> <br /> Un autre article du Monde rappelle la montée de la violence en France. Dommage que ces informations ne soient pas rappelées systématiquement (une référence suffirait) pour éviter de démolir la<br /> Grèce.<br /> <br /> <br />       Quelques notes sur l'article du Monde de Jean-Pierre Tuquoi, envoyé spécial à Athènes :<br /> Il emploie le mot "fichu" pour désigner ce qu'en France on appelle "voile islamique", je cite : (...) une jeune fille explique qu'elle n'ose plus descendre dans la rue depuis qu'un inconnu<br /> lui a arraché le fichu qu'elle portait sur la tête.<br /> En France, l'affaire n'aurait pas été relatée, ou si elle l'avait été, on aurait pris le ton laïc pour dire : un inconnu lui a arraché son voile islamique. Je ne dis pas que c'est mieux,<br /> simplement, en disant "fichu", on feint l'atteinte à la coquetterie d'une jeune fille, la violence  ici devient gratuite, on oublie qu'il s'agit de religion, de sexisme religieux, etc.<br /> Il parle également de la pollution du centre-ville d'Athènes (pas de chiffre) qui entrainerait la fuite de la bourgeoisie. L'éternelle pollution à Athènes, cliché ô combien relayé ! A<br /> Paris, on respire si bien, surtout rue des Saint-Pères (6e arrondissement)... Peut-être sommes-nous plus bouchés?<br /> Le journaliste relaie un témoignage où une femme grecque, -semble-t-il, à moins que ce ne soit par alliance-, Ketty Kehylylou dit : Il y a vraiment des pogroms à Athènes. Là, c'est grave<br /> ! C'est grave de faire le relai de ce genre d'exagération (les pogroms conduisaient à des assassinats): il faut retourner dans le dictionnaire et dans l'histoire pour rappeler ce qu'étaient les pogroms! Ce<br /> n'est pas parce que les Grecs sont alarmistes qu'il faut les suivre. N'oublions pas où nous vivons : dans un pays où l'on a institutionnalisé la discrimination par l'expulsion des<br /> Roms!<br />
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