XV Quid πλατανῶν opacissimus? Le sommeil t'enveloppa comme un arbre, de feuilles vertes, Tu respirais comme un arbre dans la clarté paisible, Dans la source transparente, je regardai ton visage, Paupières closes griffant l'eau légèrement de leurs cils....
Lire la suiteSolstice d'été * Θερινὸ Ἡλιοστάσι XI La mer appelée sérénité navires et voiles blanches brise venues des pins et la Montagne d'Égine souffle haletant ; elle et toi, ta peau glissait sur sa peau facile et chaude pensée à peine formée aussitôt oubliée....
Lire la suiteΌνειρο Κοιμούμαι και η καρδιά μου ξαγρυπνά, κοιτάζει τ' άστρα στον ουρανό και το δοιάκι και πώς ανθοβολά το νερό στο τιμόνι. Rêve Je dors et mon cœur s'éveille,il regarde les étoiles dans le ciel et le gouvernailet comment au timon fleurit l'eau. Traduction...
Lire la suiteCe poème fait partie du recueil Journal de Bord, I. Ημερολόγιο Καταστρώματος, Α Tableau en tête d'article de Marina Karella Voir aussi Biographie et choix de textes sur le site espritsnomades.com Poèmes publiés sur la République des Lettres Biographie...
Lire la suiteCe poème de Georges Séféris est tiré de son recueil Μυθιστόρημα (Mythistorima -Mythologie, 1933-34) : XIX Le vent, même quand il souffle, ne nous rafraîchit pas Et l'ombre reste mince sous les cyprès Et les montagnes trop abruptes à l'entour. Ils sont...
Lire la suiteCe poème de Georges Séféris fait partie du recueil Κίχλη (Grive) paru en 1947 : Radio « Voiles sous le souffle du vent Rien d'autre ne subsiste du jour. Silence et senteur de pin Adouciront aisément la plaie Qu'ont faite en partant le marin, le hoche-queue,...
Lire la suiteGeorges Seferis (13 mars 1900- 20 septembre 1971) est l'un des plus grands poètes de la Grèce contemporaine (il a notamment reçu le Prix Nobel de littérature en 1963). Ce poème extrait du recueil Strophes — Στροφή (1931) a été mis en musique par Mikis...
Lire la suiteCe poème de Georges Séféris ( Γιώργος Σεφέρης, 1900-1971) appartient au recueil "Mythologie" (1935). Painting (up)/Tableau (ci-dessus) : Λιλίκα Παπανικολάου, Μονή ( Lilika Papanikolaou, Seule). Ο τόπος μας είναι κλειστός, όλο βουνά που έχουν σκεπή το...
Lire la suiteFleurs de la pierre Fleurs de la pierre devant la mer verte Avec des veines qui me rappelaient d’autres amours Brillant sous la pluie lente et fine. Fleurs de la pierre, figures Surgies quand nul ne parlait et qui m’avez parlé Et qui m’avez permis de...
Lire la suiteIl s'agit d'un extrait du poème Epiphanie 1937, traduit en Français par Jacques Lacarrière. Κράτησα τη ζωή μου Κράτησα τη ζωή μου ταξιδεύοντας ανάμεσα σε κίτρινα δέντρα, κάτω απ'το πλάγιασμα της βροχής σε σιωπηλές πλαγιές φορτωμένες με τα φύλλα της οξιάς...
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